Piano solo
Rapsodie espagnole pour piano (1945)
Pièces pour piano (1950)
Toccata (1954)
Quinze mystères du Rosaire pour piano (1955)
Suite pour piano (1955)
Allegro de concert pour piano (1965)
72 Études karnatiques pour piano (1984)
Musique de chambre avec piano(s)
Prélude et allegro pour contrebasse et piano (1959)
Prélude et allegro pour tuba et piano (1959)
Pour Diane pour cor (ou saxophone) et piano (1962)
Pour Syrinx pour flûte et piano (1962)
Gavambodi 2 pour saxophone et piano (1966)
Esquisse pour flûte et piano (1972)
Grave pour basson et piano (1977)
Chant bref pour alto et piano (1987)
6 à 12 instruments
Concert n° 4 pour piano et orchestre à cordes (1972)
Années 1940
Rapsodie espagnole pour piano (1945)
Années 1950
Pièces pour piano (1950)
Toccata (1954)
Quinze mystères du Rosaire pour piano (1955)
Suite pour piano (1955)
Prélude et allegro pour contrebasse et piano (1959)
Prélude et allegro pour tuba et piano (1959)
Années 1960
Pour Diane pour cor (ou saxophone) et piano (1962)
Pour Syrinx pour flûte et piano (1962)
Allegro de concert pour piano (1965)
Gavambodi 2 pour saxophone et piano (1966)
Années 1970
Concert n° 4 pour piano et orchestre à cordes (1972)
Esquisse pour flûte et piano (1972)
Grave pour basson et piano (1977)
Années 1980
72 Études karnatiques pour piano (1984)
Chant bref pour alto et piano (1987)
5 à 10 minutes
Esquisse pour flûte et piano (1972)
Grave pour basson et piano (1977)
10 à 20 minutes
Gavambodi 2 pour saxophone et piano (1966)
Concert n° 4 pour piano et orchestre à cordes (1972)
1h ou plus
72 Études karnatiques pour piano (1984)
Jacques Charpentier
1933-2017
France
Biographie
"Jacques Georges Paul Charpentier est né à Paris le 18 octobre 1933 dans une famille mélomane. Il débute ses études musicales (piano, solfège et histoire de la musique) avec Maria Boutiller-Cérati et les poursuit, de 1950 à 1953, avec la compositrice et pédagogue Jeanine Rueff, qui lui enseigne notamment l’écriture musicale.
À 20 ans, il part en Inde, à Bombay et Calcutta. Durant dix-huit mois, il découvre la spiritualité hindouiste et s’initie à la musique traditionnelle hindoue. À son retour en France, il entre au Conservatoire de Paris, étudie la composition avec Tony Aubin et la philosophie de la musique avec Olivier Messiaen. En 1956, il obtient son premier prix de philosophie de la musique avec une thèse portant sur la musique de l’Inde, puis en 1958, son premier prix de composition.
À partir de 1957, Jacques Charpentier entreprend un travail consacré aux 72 modes karnatiques hindous, échelles qui régissent la musique indienne. Terminées en 1984, les 72 études karnatiques pour piano constituent une fenêtre ouverte sur les modalités d'un langage musical alors inconnu en occident et dont la musique occidentale s'enrichit, ainsi qu'une étape importante dans l'histoire de la littérature pour piano. L’instrument y est souvent traité comme percussion, avec des effets d’écho et des sonorités rappelant certains instruments de l’Inde. L’écriture extrêmement variée exploite les changements de registre, les grappes d’accords, la diversité du mode d’attaque et celle des nuances. En 1959, Jacques Charpentier achève la composition de son Concerto pour ondes Martenot et orchestre. Ce concerto est un essai de synthèse entre les exigences formelles issues des musiques tonales, modales et dodécaphoniques mises au service d’une libre expression mélodique et lyrique. Le matériau musical utilise deux des 72 modes karnatiques de la musique hindoue. En 1960, son Concertino alla francese pour ondes Martenot, percussion et orchestre à cordes est entièrement écrit sur le mode Kâmavärdini, mode karnatique 51. Avec cette œuvre, en 1967, le compositeur remporte le Grand Prix du disque. /.../ Source (Maison de la Musique contemporaine)
Instrument(s) étudié(s) : piano
Page actualisée le 16/07/2022