Piano solo
Crépuscules pour piano (1996)
Onze Préludes pour piano (1997)
Cis pour piano (2002)
Cinq Mantras pour piano (2006)
Allusions pour piano (2009)
Exil d’enfance pour piano (2013)
Musique de chambre avec piano(s)
Suite pour violon et piano (1993)
Trois solitudes pour violoncelle et piano (1993)
Quatre danses de souvenir pour flûte et piano (2002)
"Fragment d'exil" pour violoncelle et piano (2010)
Années 1990
Suite pour violon et piano (1993)
Trois solitudes pour violoncelle et piano (1993)
Crépuscules pour piano (1996)
Onze Préludes pour piano (1997)
Années 2000
Cis pour piano (2002)
Quatre danses de souvenir pour flûte et piano (2002)
Cinq Mantras pour piano (2006)
Allusions pour piano (2009)
Années 2010
"Fragment d'exil" pour violoncelle et piano (2010)
Exil d’enfance pour piano (2013)
5 à 10 minutes
Cis pour piano (2002)
Quatre danses de souvenir pour flûte et piano (2002)
"Fragment d'exil" pour violoncelle et piano (2010)
10 à 20 minutes
Trois solitudes pour violoncelle et piano (1993)
Suite pour violon et piano (1993)
Crépuscules pour piano (1996)
Allusions pour piano (2009)
20 à 30 minutes
Onze Préludes pour piano (1997)
Exil d’enfance pour piano (2013)
Jean-Claude Wolff (1946-)
Onze Préludes
pour piano
Date de composition : 1997
Durée : 25'
Éditeur : Editions Delatour
Création : France, Paris, festival " Présences 2000 " (Radio-France), 13 février 2000, Alice Ader, piano
Partition (Di-Arezzo)
Ecouter (Site du compositeur)
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"Les "Onze Préludes pour piano" ont été écrits en 1997/1998. L'idée m'en est venue en composant "Crépuscules", également pour piano, qui développait une large idée thématique et était basée sur le principe de la variation.
Dans les "Onze Préludes", les motifs thématiques - il n'est pas abusif de parler de thème- sont brefs, très caractérisés, et, pour chacun d'eux, inscrits autour d'un intervalle de prédilection ( tierce majeure, seconde mineure, etc...), intervalle entendu mélodiquement et harmoniquement, propre à chaque prélude, et lui donnant un caractère sonore et affectif spécifique.
Ces "Onze Préludes" se présentent aussi comme des hommages à quelques compositeurs qui habitent ma pensée musicale, qui m'aident par leur évocation, leur étude, leur tradition, à "vivre la musique" : "quand je me sens vide d'amour et de musique, je pense à Beethoven" ; le mot "tradition" est pour moi un concept libre, ouvert, immense, difficile aussi. Dans les "Onze Préludes", où j'évoque particulièrement Messiaen, Beethoven, Debussy, Bartok, Chopin, Mahler, il ne s'agit pas de pastiche ni de citation, mais d'une imprégnation, d'un fouillis poétique de la mémoire.
Les "Onze Préludes" se jouent enchaînés ; c'est une oeuvre portée par des bribes de mémoire, de souvenir et d'allusion (on peut penser à l'écriture de Dutilleux dans son quatuor "Ainsi la nuit"). De nombreuses "incises", "parenthèses" et "pressentiments" y sont insérés. Si certains de ces Préludes peuvent être joués isolément, leur exécution intégrale est hautement souhaitable." (Site du compositeur)
Page actualisée le 04/04/2016